Aujourd’hui, nous vous proposons une interview portage salarial international, avec la découverte du profil de Cecile Duranton, export Manager, et qui a trouvé en SAGE SA un allié de choix pour faciliter son expatriation en Espagne.
Bonjour Cécile. Vous êtes expatriée en Espagne sous portage salarial international. Que pouvez-vous nous dire de votre métier ?
Ingénieur agronome, je travaille depuis seulement 5 ans. Mon profil est international par choix. Au cours de mes études d’agronomie, j’ai fait plusieurs stages en Asie et Amérique du Sud, complétés par deux années de spécialisation au Brésil. Actuellement, je suis, depuis l’Espagne, export manager (Espagne, Portugal, Maghreb) d’un groupe agroalimentaire français. Je commercialise de la poudre de lait pour jeunes mammifères, auprès de réseaux de distribution travaillant avec des éleveurs. Je suis portée à l’international par Sage SA et l’ai choisi pour son appartenance au groupe www.frelance.com
Vous êtes jeune, et pourtant vous avez opté pour le portage salarial international, finalement assez peu utilisé (à tort) par votre génération ?
Effectivement, ce n’est pas si fréquent. 5 ans de carrière dans la nutrition animale, 2 ans de portage salarial. Le groupe pour lequel je travaille n’a pas de filiale en Espagne. Pour l’entreprise comme pour moi, le portage salarial s’est avéré une excellente solution pour garantir à chacun le meilleur cadre. Ce n’est pas moi qui ai choisi Sage mais le groupe. En ce qui me concerne je bénéficie de tous les avantages du salariat : retraite, chômage, couverture sociale, prévoyance…
Concrètement, comment se passe votre relation avec SAGE SA ?
Comme je vous le disais c’est la société qui m’emploie qui a identifié SAGE comme le meilleur service pour accompagner sa flotte d’expatriés, quelque soit le pays où chacun est basé. Sage connait le droit international du pays, et adapte la solution à la situation personnelle de chacun des expatriés du groupe. Pour ma part j’ai été accompagnée dans toutes mes démarches administratives lors de mon installation en Espagne, par Edgar et Bernard. C’est d’un grand confort. Il y avait notamment une question complexe autour de ma carte de résident. Sage a géré tout cela pour moi, et m’a soulagée de démarches très chronophages et parfois complexes, ce qui m’a permis de m’installer sereinement par ailleurs, et de m’atteler plus rapidement à ma mission professionnelle.
Lorsque votre entreprise vous a proposé cette solution de portage salarial, la connaissiez-vous déjà ? Avez-vous eu des craintes quant au fait qu’elle puisse vous désavantager ?
C’était la première fois que l’on me proposait cette solution. Je me suis d’abord informée sur internet ou de nombreuses ressources permettent de bien comprendre le fonctionnement du portage salarial international. Sage existe depuis plus de 30 ans, je n’ai donc pas eu de doute quant à sa fiabilité sur le long terme. Par ailleurs, j’ai pu vite constater que les relations avec l’équipe de Sage étaient faciles, agiles et que la pratique était maîtrisée. Je n’ai eu ni craintes ni stress. Au contraire, j’ai plutôt eu le sentiment d’une facilitation et d’une intermédiation de confiance.
Quel type de contrat avez-vous mis en place ?
Je suis sous contrat à durée indéterminée. Les conditions de rupture sont tout ce qu’il y a de plus classique (préavis, clause de non-concurrence, indemnités de rupture..).
Nous venons de passer une période complexe de crise sanitaire. Comment avez-vous géré votre mission internationale dans ce contexte bouleversé ?
Je dois dire qu’à de nombreux égards tout a été beaucoup plus difficile. J’échange énormément avec des éleveurs. Traiter avec eux en visio-conférence n’a pas été simple. Leur terrain d’exercice n’est pas vraiment adapté aux solutions digitales de communication. J’ai dû redoubler d’effort pour maintenir mes clients, et évidemment les déplacements quant ils n’étaient pas impossibles étaient compliqués.
J’ai par ailleurs rencontré de gros problèmes logistiques.
Dans un deuxième temps, et comme pour beaucoup d’autres secteurs, l’équilibre offre/demande a été bouleversé. Moins de lait, moins de viande, explosion des cours des farines… j’en passe.
En temps normal quel est votre rythme de déplacement ?
Depuis l’Espagne, en temps normal je suis en mouvement 2 semaines et demie par mois entre le Portugal, le Maroc et l’Algérie, et l’Espagne, à la rencontre des distributeurs, ou de leurs clients.
Merci Cécile pour ce partage d’expérience. Nous vous souhaitons le meilleur pour la suite de votre vie professionnelle.